Son premier long-métrage « No man’s land », sur le conflit bosniaque fut une révélation. Une autre façon de parler de la guerre et plus particulièrement de ce conflit ethnique. Quand on lui propose le scénario de « Eyes of war », d’après le roman de Scott Anderson, Danis Tanovic accepte parce que là encore il voit l’occasion « de dépasser les seuls enjeux du film de guerre ». Une déclaration d’intention tout à fait respectée dans …







