Jean-François Leroy, vous avez choisi, et c’est une première, de ne pas présenter à Perpignan la photo primée cette année au World Press. Pourquoi ? Parce que la photo de presse internationale de l’année est une photo, que de surcroît je ne trouve pas bonne, d’un couple d’homosexuels en Russie. En 2015, il y a eu la Syrie, l’Irak, le Mali, le Nigeria, l’Ukraine, la montée de Daesh partout et tu primes une photo sur …